Quand la maison se tait enfin,
Que les paupières se sont éteintes,
Et que les respirations se font régulières,
Quelle paix de trouver un moment pour faire
Les multiples tâches qu'on a dû reporter.
Publié le 14 Décembre 2015 par Cendrine BERTANI
Quand la maison se tait enfin,
Que les paupières se sont éteintes,
Et que les respirations se font régulières,
Quelle paix de trouver un moment pour faire
Les multiples tâches qu'on a dû reporter.