Viens partager notre repas: à deux, à trois, on rit à satiété.

Traditions obligent, mangeons des crêpes. Au sucre, à la confiture ou nature, nos papilles se régalent, et Mamie est contente de constater que nous trouvons le temps de cuisiner pour nos petits bouchons.

Blague à part, c'est moi qui débloques, ou le monde entier qui part en loques ? Je cherchais de l'humour drôle, et n'ai trouvé que du graveleux grave. Les autres ne pensent qu'au lourd ? Qu'à des moqueries et autres calembours ? Finalement, c'est la blague...

Que tu sois confiant ou soucieux, Ne triche jamais, en examen. La sanction en sera plus sérieuse. Apprends, dors, respire, et fais de ton mieux. Pense au moment où tu seras débarrassé de tout ça, et mange avant.

L'envie me prend de participer au concours de nouvelles, pour le quai du polar, à Lyon. Des mots imposés, un genre choisi, j'ai jusqu'à début février pour produire un texte réussi. Résultats le 5 avril... Je mettrai alors la nouvelle en ligne.

La nuit tombe. Mon entrain aussi. L'hiver nous plombe, un moral amoindri. Et si le soir, nous hibernions ensemble, Comme des loirs alanguis ?

C'est le maître-mot de ce siècle: Il faut gérer les conflits souplement. Savoir ménager la chèvre et le chou. Se mettre au niveau de son auditoire, Mais imperceptiblement, sans vexer quiconque. Faire le grand écart quotidiennement, Entre nos attentes...

Tous les matins, Au lever du lit, Tu es derrière ma fenêtre, Mon ami. Fidèle au rendez-vous, Affamé et fou, Tu défies les chats Qui, sournois, Te font croire Que ce n'est pas toi Qu'ils guettent, Mais leurs croquettes. Dangereusement, Tu attends les miettes,...

Qu'on si fasse : il va floconner. Et cette floraison de glace va nous laisser gelés.

Soyez prudents, les microbes pullulent. Au travail, en attendant, c'est un foyer ardent. Que l'on tousse, postillonne, s'évanouisse ou somnole, chacun se sent mal, à sa manière. Mais le plus mal loti est l'enseignant, le bien-portant qui sera contaminé...